2. La baby-sitter de Andrew Coburn
Titre original: The Babysitter (1979), 302 pages
Pitch:
En rentrant du cinéma, John Wright et son épouse retrouvent leur baby-sitter, Paula Aherne, baignant dans son sang. Leur bébé a disparu. Les Wright n'ont pas d'ennemis, pas de fortune... Pourquoi eux? C'est la banalité du mal dans toute son horreur: l'irruption dans la réalité d'un événement qu'on veut croire impossible. Affolés, les Wright se lancent à la recherche d'un hypothétique indice, et réalisent bientôt que tout ce qu'ils savaient de Paula, la jeune fille sans famille à qui ils avaient (trop?) Facilement fait confiance, était faux, à commencer par son identité. Qui était-elle vraiment? Mais le temps leur est compté, car c'est seulement dans les premières heures qui suivent sa disparition qu'un enfant a une chance d'être retrouvé vivant...
Avis:
Lecture ardue que ce récit. Disons que l'horreur du pitch survenue, l'auteur semble nous engluer dans une intrigue décousue où seul le désarroi des parents émerge. Car il faut bien dire qu'on est un peu paumé si on veut s'attacher aux avancées de l’enquête. Les policiers sont décrits très froidement et on a bien du mal à suivre l'investigation que je qualifierai de filandreuse. Pourtant je n'ai pas abandonné la lecture et au final, je n'ai que trop peu compris le véritable épilogue. Je suis donc circonspect par le bouquin mais son atmosphère avait tout de même quelque chose d'addictif...
Note : 11/20
Ber