1. Kriminalbar de Piero Colaprico
Titre original : Kriminalbar (1999) 298 pages
Pitch :
Le photographe Misserville est amené à tuer Narduzzu, alias le Colombien, patron d'un réseau de drogue. Genito, ex-capitaine des carabiniers devenu détective privé, utilise des méthodes peu orthodoxes dans ses enquêtes ; par exemple, jeter ceux qu'il veut faire parler sur une voie ferrée. Motozappa, un culturiste de bas étage, veut organiser "un grand concours pour devenir riche". Mais sa route croise celle de Monica... A travers dix épisodes étroitement liés entre eux par l'action, Piero Colaprico compose avec brio une mosaïque à la Pulp Fiction, d'où émerge le portrait coloré d'une faune bizarre, dans l'Italie des années 90.
Avis :
J’étais réellement enthousiaste de lire cet auteur italien avec un procédé d’écriture très prometteur. Malheureusement, plus j’avançais dans les chapitres-nouvelles du bouquin, plus je m’enlisais dans un ennui certain. Arrivé à la 7ième histoire, j’abandonnai devant le manque de saveur des personnages et des récits. Un gros coup dans l’eau...
Note : 07/20
Ber